IA – Q.0044 – Esprit es-tu là ?

Niveau 0, à propos de ‘l’esprit’ d’un slogan, qu’est-ce qu’un ‘slogan’ ?

Il est des jours où il semblerait que l’on pense méthodiquement.

Rajout 11/08/25 -_- Vous avez dit ‘méthodiquement’. Hum, hum… Mais, il se peut, qu’on soit habité(e) d’un vertige , et ce, relisant un brouillon, que cela se double d’un ressenti. Comme celui d’ ‘être’ ‘coincé(e)’ dans une zone interstitielle. Le mot ‘interstitiel‘ est ‘rare‘ dit le CNTRL. Ainsi va, dans ses usages, l’esprit, à un instant ‘ T ‘. Il n’y aurait plus qu’à en faire une équation |physico-mathématique ?| . A propos de ce ‘brouillon’, les rajouts sont en ‘gras’, le ‘brouillon’ ne l’est pas. Il s’agit de cette chronique. Ne vous y trompez pas. Entre bouillon et brouillon … Juste un ‘r’ de plus ou de moins ! Un ‘r’ comme un ‘air’ de liberté ! Et la ‘magie’ du verbe ! Celle de la langue française. Celle que je ne veux pas perdre…

On part de zéro, par exemple d’un ‘slogan’. Celui du GREP – récemment adopté – qui est : Réfléchir ensemble. Qu’est- ce qu’un slogan? Réponse dans une définition : https://www.cnrtl.fr/lexicographie/slogan – EXTRAITS : «formule concise et expressive, facile à retenir, utilisée dans les campagnes de publicité, de propagande pour lancer un produit, une marque ou pour gagner l’opinion à certaines idées politiques ou sociales » – Ma conclusion, après lecture de la notice CNTRL, serait que ‘slogan’ appartiendrait à l’univers de la ‘marchandise’, du ‘politique’. Alors quoi ? Apaisant, belliqueux ou lénifiant... Je ‘pense’ à ‘devise’, alors que, le slogan, cela n’en est pas; le mot ‘devise’ est ‘jeune’ |récent|: «Étymol. et Hist. 1. 1842 (Ac. Compl.: Slogan. s.m. − hist. − Cri de guerre d’un clan écossais).»

Rajout 11/08/25 -_- Je me sens ‘bien’, mais, ‘coincée’. Confirmation. Entre le slogan et la devise je n’ai pas même envie de choisir. Cela ne me convient pas. J’entends par là, que cet univers là, que le slogan ou la devise formatent, je n’ai pas de penchant pour lui. Malgré cela je suis encore au Grep.

Niveau 1, réfléchir…

Je continue de ‘penser’ me plaçant au niveau du ‘sens’ de ‘réfléchir’, me demandant comment considérer, évaluer, qualifier, faire vivre cette forme verbale en pratique : https://www.cnrtl.fr/etymologie/reflechir . Serait-il utile de rapprocher, comparer ce terme à un autre. Par exemple à celui du verbe ‘penser’? En prenant cette ‘forme’ dans son étymologie et son histoire pourrais-je avoir un embryon de réponse ? EXTRAITS : « renvoyer par réflexion » – |ça c’est de 1609| → « revenir sur sa pensée pour l’approfondir » – « penser mûrement » ← |ça c’était du Bossuet ! | – du lat. reflectere « courber en arrière, recourber; ramener » – en lat. médiév. « réverbérer (d’un miroir) » – dér. de flectere « fléchir, ployer », préf. re- marquant le mouvement en arrière.

Rajout 11/08/25 -_- Je relis ce brouillon, imprégnée de doute(s) mais aussi d’une certitude, il y a de l’optique | pure vs impure | la dedans : avec réfléchir, il y a un (les) (des) jeu(x ) de miroir (s)…

Niveau 2, penser

J’explore la notice : https://www.cnrtl.fr/definition/penser . Deux définitions comblent d’aise mes biais cognitifs de blogueuse. EXTRAITS : «A. HIST. DE LA PHILOS. Exercer son esprit; mettre en œuvre sa conscience.» – «B. − PHILOS., lang. cour. 1. Former des idées; concevoir par l’esprit, par l’intelligence.»

Rajout 11/08/25 -_- Coincée à nouveau , je me questionne pour en sortir  : où se trouve le ‘siège’, la ‘particule’ de la conscience ? La conscience, est-ce une onde, qui va, ne revient pas ? Est-ce un ‘formatage’ de ‘l’être’ ‘du vivant’ ‘de l’individué’ ? ‘Être’ pilonné. ‘Être’ bombardé d’informations. Ambivalence du terme. Quittons les vivants un instant pour aller vers les morts. Aller vers tous ces morts qui nous influencent. Comment serions nous influencés par leur mort ? La mort – dans un lit douillet sous les hommages, la mort puis le testament, ou bien toutes ces morts pour rien [peut-être ? ] catapultés par les marées et rejetés, noyés, sur les plages – ces morts et les traces qu’ils laissent |ou ne laissent pas | ,  dans la presse, dans les objets encyclopédiques, historiques. Ceux -ci tant qu’on ne les a pas détruits, existent, en potentiel partage.

Niveau 3, escamoter

Laissant mon esprit voguer entre les ‘formes’ images des mots |terme de ‘traces’| celles des images mentales [terme de ‘noyés’| en surgit une troisième verbale : le terme escamoter, ‘vieillie’, me dit sa notice CNTRL : EXTRAITS : «A.− Faire disparaître, dissimuler (quelque chose ou plus rarement quelqu’un) par une manœuvre habile.» Un slogan serait-il une manœuvre habile qui brouillerait les pistes entre réfléchir et penser ? ‘Spectaculaire’ … répondraient |ou pourraient répondre| en chœur : Jean Baudrillard, Guy Debord, Régis Debray, Jacques Ellul, Michel Foucault, René Girard, Anne Sauvageot, Bernard Steigler, Paul Virilio & C° …

Rajout 11/08/25 -_- Dans ce ‘spectacle’ |sans fin, ni commencement| en train de se dérouler, on est, on existe, on lui appartient. Ces morts |pour rien ? | m’appartiennent à jamais. Tout comme nous leur appartenons. Face au spectacle de façon |pseudo ? | autonome ou bien on s’y dissous ou bien on s’en retire ? Spectaculaire  cet escamotage ? De quoi s’agit-il quand on admire ou qu’on repousse quelques uns des accessoires et décors du spectacle ? D’un trop plein de sens qui engendre le vide : plus de place pour l’esprit ! D’un vide de sens qui ne laisse plus d’espace pour réfléchir ? Quantique ? Sur le conseil d’Aurélien Barrau je ne fais que de la poésie. Je reviens de Fleurance Festival d’astronomie. A Aurélien Barrau je dédie cette chronique. Comment ne pas perdre son moi, son soi, son sur-moi, son ça, sa mémoire, sa culture, son savoir, son empathie, sa sympathie, sa compassion, son esprit? Sa liberté [pseudo ? ] [reste plus qu’à en faire une équation] … Réponse poésie. Quand à moi, la blogueuse, astronomie, paroles d’astrophysique(s), de physiciens m’imprègnent momentanément. Je plane dans ‘ce que l’on ne sait pas’. Ne pas en avoir peur. Ce ne sont que, des myriades de nuages d’êtres mathématiques sans la propriété de faire pleuvoir. Enfin…Hum, hum… Edgar Morin est là. Complexité… Je perds VERSUS je ne perds pas...Atmosphère… De Sciences Humaines…

Niveau 4, conclure

Le verbe conclure c’est : «I.− Mettre un terme à quelque chose qui est en cours.» Je le fais au moyen du lien vers «les lunettes connectées (…) serpent de mer dans l’océan numérique (…) », dont parle François Saltiel Publié le mardi 29 avril 2025 à 08:52 , et du constat que n’ayant rien demandé à Meta et autres robots conversationnels comme ChatGPT, Gemini & consorts, mais tout au CNTRL, site généré en HTML basique, j’ai dépensé très peu d’octets, de ce fait un peu moins d’énergie |moins d’électricité ? ] que prévu.

Rajout 11/08/25 -_- Je suis toujours en phase (linguistique, électrique  et électronique ? ) avec cette conclusion !

@ + © MFB

Rajout 11/08/25 -_-

Pourquoi ce blog ?

Dans une volonté de désengagement numérique, j’ai fermé tous les réseaux sociaux depuis plusieurs années. J’invite chacun à faire de même. Et je n’alimente presque plus ce blog.
Aurélien Barrau

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À propos de MFB7581

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Publié le 12/08/2025, dans A Propos, Climat, Commission Prospective, Cycle éducation, Expérience, Humanisme, Non classé, Prise de position, et tagué , , , , , , , , , , . Bookmarquez ce permalien. 1 Commentaire.

  1. Be careful – soyez attentif – cette chronique a été écrite, pensée, réfléchie, revue, corrigée en plusieurs temps. Les liens ne sont pas là pour divertir l’internaute, l’abonné, le lecteur… Permettre de comprendre où se ‘niche’ le sens et l’esprit de ce blog, comme ‘machine’ à écrire et ‘machine’ a conserver numériquement. Réponse momentanément : si le sens et l’esprit se nichent cela se situe dans des lieux en concurrence, certains sont bien réels d’autres ne sont ‘typiquement’ que virtuels . Les ‘niches’, se sont donc de multiples endroits physiques et/ou numériques.

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