J1, Table de presse La Méridienne.

J2, j3, j4, j5, j6, j7, à petit pas , chacun des jours suivants j’irais vers la table de presse du Festival d’Astronomie de Fleurance. Et puis j’achèterais pour moi au fur et à mesure, ce qui m’attire vraiment, une fois, que j’aurais compris, pourquoi. Ce sera l’occasion avec mon petit-fils de lui apprendre à dompter ses désirs. Voici les 4 ouvrages avec lesquels la blogueuse est revenue. De quoi faire une micro chronique ‘bibliographique’ pour le Grep. Paresseuse, je n’userais que de la 4ième de couverture pour ce partage. Occasion de donner la parole aux éditeurs et question de ‘temps’ chronologiques et météorologiques. Il fait chaud, chaud, très chaud. Fin d’après-midi hier panne générale de connexion(s) SFR dans tout le département du Tarn (81)et même peut-être ailleurs ? Je suis mieux quand l’ordinateur est éteint à l’étage. Dans mon sous-sol je suis bien avec un Dell rapide de super qualité  graphique en Windows 7 Professionnel, lequel n’ayant plus la capacité de se connecter fonctionne à merveille pour du stockage et catalogage numérique. C’est artisanal, c’est in situ, en son sein. Objets divers : textes, images, dossiers, fichiers bureautiques, dessins sont de peu de poids en octets. Leur qualité d’il y a 20 ans m’est suffisante.

J2, La Vitesse de l’Ombre.

Le sous-titre : Aux limites de la science. Hum…Hum… Vous avez dit limites ? C’est du Jean-Marc Lévy-Leblond, pilier du festival. La 4° de Couv. Se boucle en oxymore.

« Le titre de ce livre, s’il trouve son origine dans le paradoxe qui permet d’assigner à l’ombre une vitesse supérieure à celle de la lumière, renvoie surtout à la crise du projet des Lumières et à la sombre perspective d’une technoscience qui ne délivrerait plus que d’obscures clartés.» 

J3, Anomalies cosmiques.

Le sous-titre : La science face à l’étrange. Hum…Hum… vous avez bien dit étrange ? C’est du Aurélien Barrau l’astrophysicien, dissident, décroissant, écolo-gisant. Ci gît ses usages numériques.

« La science une imprenable citadelle (…) Littéralement parlant, toutes les théories sont fausses. (…) A partir de ces anomalies s’esquissent les prémices d’une nouvelle science qui reste pour l’essentiel à écrire. (…) Aurélien Barrau vous emmène sur ce chemin inconfortable de la science, jalonné de fissures.» 4° de Couv.

j5, Hubert Reeves La fureur de vivre

Alors que celui-là, je le lorgne depuis J1, il n’en reste plus qu’un. Il est dans ma tête cet astrophysicien poète, dont le livre de chevet de mon père Patience dans l’azur, à l’état de vestige, je l’ai mis dans le satin élégamment plissé des pompes funèbres avant sa mise en bière. J’achète. Hum… Hum … Vous venez bien de dire mon cher Hubert : » ‘monde’ , ‘lieu fécond’ où ça veut, ça peut, ça évolue, ça coûte, ça donne et ça risque.« 

« (…) une invitation à regarder le monde comme un lieu où s’exerce une formidable volonté de vivre (…) spectacle (…) Mon seul but est d’alimenter les réflexions autour de ce grand et tragique mystère de notre existence. H.R. »

J7, Sortir des labos pour défendre le VIVANT

Le sous-titre : Scientifiques en rébellion. Édition Seuil/Libelle – Alerter, informer, questionner. 4° de Couv.

J’acquiesce pour 4,90 €. Il en reste 3, j’en prends 2, dont un pour donner à mes voisins qui se sont occupés de mes chats. Hum…Hum…Vous avez dit ‘chats’ …Morts et vivants à la fois…Blague de l’esprit de Schrödinger. Que pouvions-nous bien avoir tous dans la tête, durant ces 7 jours là ? En voilà un petit échantillon, et, si affinités il y a , hum, @ + MFB ©