Une fois n’est pas coutume

Pour une fois, je mets un ‘titre’ à cette chronique numérotée Q.0011, et je rappelle que le Q est là pour signifier le ‘questionnement’.

L’ivresse…

Au moyen d’un ‘ordre adopté’ avec des chiffres – pour le titre de mes chroniques et leurs parutions respectives – auquel je me tiens, depuis le début de cette petite affaire – ivresse – je constate que ayant passé dans et par le chiffrement de celles-ci à l’aide des nombres: 0 à 9 – des chroniques 0001, 0002, 0003, 0004, 0005, 0006, 0007, 0008, à 0009, me voici dans le registre formel du type décimal, une catégorie, oh combien réjouissante – ivresse – dès l’instant de son apparition, je viens de passer Q.0010 et je suis sur le point de cliquer pour publier – ivresse – en temps réel la Q.0011..., au demeurant je sais que c’est arbitraire ce questionnement, mais le plaisir de l’ivresse est là – tout aussi arbitraire que lors de la création – ivresse – les premières unités depuis Q.0001, 0002, 0003, etc., qui l’ont précédés, et, arbitraire j’insiste oui, car mes discours habitant de fait cette succession, je me réserve le droit et j’ai le pouvoir d’y déroger inopinément à chaque rédaction; ceci me rassurant – ivresse – sachant que je ne le ferais pas, parce que je fais des constats : je me sens bien – ivresse – je crois que j’ai réalisé un bon choix, sereine, je suis comme sur des rails, confortable comme pour un long voyage, toujours animée d’une inspiration concomitante au réel ; ce réel romanesque tout à la fois tragique et inaccessible ‘par essence’ dans toutes ses turbulences ; ces turbulences qui m’émeuvent jour après jour, et dont par l’intermédiaire de ce blog, je me suis assignée ‘volontairement la tâche d’analyser quelques signaux faibles; ce réel me cède, et vous cède par mon intermédiaire, aussi, lecteurs, des petites portions d’éternité(s) (sic) celles du temps qui passe et celles des ‘autres’ – ivresse et sérénité momentanément font bon ménage – cela parce j’ai l’envie du partage, ce partage c’est pour vous lecteurs ; ces signaux faibles vous pouvez les suivre ils sont dans ces Q.nnnn , vous pouvez les suivre pour certains de ces questionnements dès leur parution, ou bien sur les archives de ‘compte d’auteur‘ géré par le blog ; chacun de ces Q.nnnn étant témoin et reflet(s), non pas d’une réalité, mais à tout le moins d’un esprit en train de se poser sur une réalité ; c’est tout à la fois un esprit qui ‘se croit libre’, car il a la sensation de voler au dessus du réel, il observe puis glane, ordonne en sous-titres, restitue en mots, se déployant pour le Grep ; il montre comment on peut se poser ‘comme’ sur un petit nuage sur le monde tel qu’il est, non pas celui d’un Cloud – quoique, oui , aussi en pratique, chaque Q.nnnn est stocké effectivement sur un Cloud* – bref, oublions vite la technique, restons en cette Seule Sensation que hic et nunc je qualifierait être celle de l’ivresse. **

*Pour le vocable ‘Cloud’, voir en un d’œil –> https://www.1min30.com/dictionnaire-du-web/cloud

** Pour le terme de ‘ivresse’ au choix : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ivresse OU https://www.cnrtl.fr/definition/ivresse

De la ponctuation…

Le ‘transport’ du jour, s’est fait avec une ponctuation variée, enchâssée entre une majuscule : ‘A‘ ouvrant une longue phrase sur un « ordre adopté » suivi d’ un seul point, annonçant la fin de cette même phrase. C’est du Proust, oui, non, peut-être, c’est du traitement de texte numérique*** certainement , avec clavier et souris informatique sûrement, ‘saisi’ à la volée ce jour, sans brouillon autre que quelques mots jetés au préalable et au stylo sur une feuille de papier. @+ MFB

*** Pour le ‘traitement de texte’ il y en aurait des ‘meilleurs’, et donc des ‘moins bons’, pour moi c’est du LibreOffice, https://www.blogdumoderateur.com/tools/productivite/traitement-texte/